Nom : Aro Orick
Race : Humain, Haradrim
Métier : Commandant suprême du Harad
Contrée : Plaine de l'ouest du Harad
Aro, fils de fermier ne rêva jamais de sa gloire et de sa puissance... cet idéal n'avait pas lieu d'être pour lui. Avant tout passait l'honneur de sa patrie, le Harad. Dans sa jeunesse difficile dans les champs, on lui inculqua une violente haine du Gondor et une méprise du Rohan. Du reste, on ne lui apprit rien, jugeant qu'il était fort bien en mesure de se débrouilller tout seul.
Pour lui, ses seuls alliés étaient les sûderons et les habitants du Mordor, les orques. Bien que même ces derniers ne furent pas diges de son amitié.
Son père mourut alors qu'il avait quatorze années derrière lui, et sa mère n'était pas de taille à les relever tous les deux. Si bien qu'il surmonta son mal comme il put. Ce que ne put faire sa mère, qui se donna la mort à ses vingt ans.
Dès ce jour, plus personne ne vut l'ombre d'un sourire naitre sur ses lèvres.
Lorsque le puissant Sauron rappela le Harad à ses côtés dans le dernière guerre de l'anneau, Aro fut engagé dans les forces armées. Lorsque deux officiers vinrent le chercher dans sa ferme natale pour le mener au champ de bataille, on pouvait distinguer la faible lueur de braise de la rage briller au sein de ses pupilles. Il allait faire payer ce que le Gondor leur avait fait.
Lors de la bataille devant la Porte Noire, il fut en première ligne et croisa le fer avec Aragorn lui même, mais fut blessé par un troll des montagnes, qui le fit se fracasser la jambes en l'envoyant négligemment s'écraser en contrebas du monticule ou avait lieu l'escarmouche.
Remis sur pied par ses compagnons d'armes, il retourna au pays après la chute de Sauron et retourne dans son village natal, crachant à chaque pensée relative à cette désatreuse bataille, où lorsqu'il lui arrivait de penser que c'était aux pirates qu'appartenait le gouvernement du Harad...
Description physique : Physiquement musclé par son enfance difficile et son séjour sous les étendarts, il était relativement fort et habile, mais surtout de grande taille. Ses yeux bleus donnaient l'impression de vous percer de part en part à chaque regard appuié tandis que ses larges épaules restaient dissuasives pour les éventuels bandits de grands chemins qui croiseraient sa route...
N.B: Je suis de retour!